dimanche 9 juillet 2017

Confiance en la Providence (Le Seigneur est mon Père)

Puisque le Seigneur est pour nous un père plein de tendresse et de sollicitude, nous devons sans aucune crainte mettre en lui toute notre espérance et nous appuyer avec confiance sur son secours. Voyant en effet comment sa sagesse veille sur chacune de ses créatures, des fleurs des champs aux grands arbres des forêts, des petits oiseaux dans l'air aux baleines dans les océans, en un mot des plus petits atomes aux plus grandes galaxies, il ne nous est pas possible de douter de sa toute-puissante prévoyance ni de sa bonté sans bornes qui le portent à se pencher vers notre faiblesse en nous accordant abondamment tout ce dont nous avons besoin, particulièrement les grâces qui nous sont nécessaires pour nous maintenir dans le bon chemin. Enfin, puisque contrairement aux êtres inanimés ou aux animaux nous avons un cœur capable de sentiments, remercions affectueusement le Seigneur pour tant de dons connus ou cachés qu'il nous prodigue chaque jour dans sa libéralité paternelle.

Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :

 




Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :

 

- Version 1 (orgue seul) 



- Version 2 (orgue + mélodie sur un ensemble d'instruments à vent)




Paroles du cantique :

 

REFRAIN :
Le Seigneur est mon Père,
Mon seul appui,
Je me repose et j'espère
Toujours en Lui !

1
Dieu, qui donne aux bois la verdure,
Au passereau sa nourriture,
Aux roses des champs leur couleur,
Dieu, qui sur chaque créature
Répand sa bonté sans mesure,
Pourrait-il oublier mon cœur ?

2
Dieu, qui verse à flots sa lumière
Pour éclairer la terre entière,
Sitôt que renaît le matin,
Dieu connaît nos besoins de grâces
Pour défendre nos âmes lasses
Et marcher dans le droit chemin.

3
Les forêts, les plaines et l'onde
N'ont pas un cœur qui vous réponde ;
Seigneur, nous, du moins, vous aimons !
Et nous pouvons, en toute chose
Que votre sagesse dispose,
Reconnaître et bénir vos dons.

4
L'océan, le ciel plein d'étoiles
Sont à nos yeux autant de voiles
Où vous cachez votre grandeur !
O paternelle Providence,
Tous ces biens, dans leur abondance,
Vous proclament le Créateur.